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Le travail, c'est la santé !
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4 novembre 2009

Servie !

Ils sont trop gentils, les malfaisants, finalement !

Leurs conclusions sont arrivées.

L'audience, c'est lundi, youpi ! Ça laisse tout le temps qu'il faut à mon avocate pour faire son boulot (trop gentils, je vous l'avais bien dit !) et à moi d'encaisser le choc.

Heu, pour le coup de l'avocate qui a le temps de faire son boulot, c'est une blague, hein, je ne sais pas trop qui lit ces pages, je le fais juste remarquer comme ça, on ne sait jamais...

J'ai passé du coup une partie de l'après-midi chez mon avocate à lire la prose délicate de l'avocate des malfaisants, et j'en ai appris de bien bonnes sur mon machiavélisme et mon culot éhonté.

J'espère tout de même qu'elle se regarde dans la glace quand elle écrit des conneries comme celles que j'ai lues cet après-midi, qu'elle se les met bien en bouche, qu'elle se conditionne pour y croire, qu'elle se fait des effets de manche, qu'elle s'en gargarise, parce que sinon, ce serait dommage...

Bref !

Ce soir, petit coucou d'une amie au téléphone (elle a déménagé, sinon, je l'embarquais dans une nuit de débauche et de n'importe quoi, juste pour tordre un peu le cou au quotidien), une bonne rigolade avec mon mari (il m'a donné une bonne idée pour une nouvelle défoulatoire) et un bon film : Delirious de Tom DiCillo.

Life can be so nice !

Je ne détaille pas trop les élucubrations de la partie adverse. D'abord, ce n'est pas intéressant, juste un ramassis de menteries et d'indignations préfabriquées qui mériteraient, si le monde était un peu mieux fait, un magistral coup de pied dans le derrière. Je préfère attendre quelques jours, histoire de prendre un peu de recul.

Et puis, j'en ai plus que marre de patauger depuis si longtemps dans la médiocrité de ces gens, je me mets en apnée dès que je dois approcher leurs tristes fonds de crâne.

J'ai besoin d'air, de lumière, de vie.

Il faut que ce procès se termine, maintenant, parce que là, j'aspire surtout à ne plus jamais entendre parler de ces abrutis et de la pauvre boîte qui les emploie.

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