Faire avec quand on ne peut pas faire sans - 4 janvier 2010

Je vais finir par digérer la décision de la cour d'appel même si le contenu du jugement me turlupine : il faudrait que l'on m explique comment des juges peuvent se permettre de faire référence dans un jugement à des preuves qui n'existent pas et à écrire des grosses menteries.

Je dois appeler mon avocate pour qu'elle m en dise un peu plus à ce sujet, je sens que cela risque d'être instructif, d'autant que désormais je ne peux plus contester ce jugement, sauf à aller en cassation. Je n riai pas en cassation, le jugement a suivi toutes les règles et le recours à un avocat en cassation coûte un bras.

Moralité : à moi de faire avec ce jugement qui ne ressemble à rien et donne raison à une boîte qui n'a pas hésité à falsifier des pièces, qui gruge l'Urssaf et les Assedic, utilise le travail dissimulé, couvre une folle et ses comportements délictueux. Je les imagine, ces malfaisants, tout contents d'eux (et d'elles), et ça me met vraiment en rogne.