Mardi 6 mai 2008

Je reviens sur le mail de mon ex-collègue. En fait, c’est tout de même celui qui avait montré le plus de courage face aux trois sales cons, alors finalement, peut-être qu’il pensait vraiment arranger mes bidons en m’informant que je pouvais éventuellement me manifester pour décrocher un remplacement.

Je doute que quelqu’un de la hiérarchie lui ait soufflé de faire cette démarche, il voulait sans doute juste que je retrouve du boulot.

De toutes façons, personne ne m’a contactée officiellement pour me le proposer, ce remplacement, ça m’arrange bien, je dois dire, parce que sinon, il faudrait que je me montre très très explicite, et vu les discussions oiseuses et les promesses qui n’engagent que ceux qui les croient qu’on m’a serinées pendant mon séjour épineux dans ce service de déjantés, j’ai bien peur que ça tourne au ridicule...

Grosse crise d’angoisse hier soir : j’imaginais les trois sales cons en train de fomenter un complot à base de vaudou :-) pour me détruire...   

La réalité, c’est que ce sont de pauvres nazes qui ne valent pas tripette et dont la principale caractéristique est une immense lâcheté et une propension à abuser de la faiblesse de ceux qui les entourent.

Je travaille ma droite et mon revers, métaphoriquement s’entend (on m’a toujours dit que taper dans la m..., ça salit).

Bonne journée !