Vendredi 20 avril 2007
Délivrance, mais sans le banjo, merci !
J’ai largué aujourd’hui mon dossier chez l’avocate.
Je l’ai bourré d’explications de texte, de coupages de cheveux en quatre, d’enculages de mouche et de mesquineries procédurières, un vrai bonheur !
C’est pas que je sois d’un tempérament nerveux ni violent, les gens qui me connaissent iraient même jusqu’à me prêter une certaine nonchalance, voire un tantinet de lymphatisme.
Mais quand on me cherche, on finit par me trouver. À gauche, en sortant, à côté de la hache plantée dans la tête du dernier con qui m’a mal parlé alors que j’avais l’humeur guillerette et que je ne demandais rien à personne, si ce n’est de jouir paisiblement de l’oxygène qui m’est nécessaire.
Sinon, j’ai presque fini Objectif zéro sale con : c’est drôle, pragmatique et ça donne des arguments.