Mercredi 19 septembre 2007

Le boss du service m’a demandé aujourd’hui comment ça se passait et j’ai été très franche : je lui ai dit que globalement ça se passait bien, mais que le boulet restait un boulet.

Il attend de voir comment ça se passera quand la petite teigne rentrera de vacances, « car, m’a-t-il dit, elle pèse beaucoup dans l’ambiance du bureau ».

Tu m’étonnes !

Je lui ai dit que ce n’était pas moi qui avais la clé de la situation, mais eux, et que pour ma part, je faisais avec. Il a reconnu que ce n’était pas une ambiance de boulot très normale.

Ça m’a fait du bien de parler à cœur ouvert, parce qu’avec mes collègues, on évite le sujet, histoire de ne pas faire monter la sauce. L’ambiance est déjà suffisamment lourde comme ça par moments...

Mais globalement, les rapports se sont normalisés avec toutes les personnes du service, y compris un des trois sales cons, beaucoup moins actif quand les deux autres ne sont pas là, limite vivable, si si.

Qui vivra verra, c’est un peu ma devise en ce moment...